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Le 6 mars dans le froid et le mistral.
Nous étions soixante a braver les intempéries, a affronter la morosité ambiante et nous avons fait vibrer les murs du Fouquet et de l’Opéra d’un immense chant patriotique à la gloire de Nicolaï 1er. "Mille colombes" et "qu’elles sont belles les filles de Sarkozy" massacré avec joie et bonne humeur à l’hotel de la bienséance.
Pas de média cette fois, pas de journalistes comme la dernière fois, non juste quelques irréductibles gaulois.