Accueil > Les villegiatures > Le Point de Bascule > le Point de Bascule : "quand c’est fini, ca n’est jamais vraiment fini, c’est (...) > 2010, les premières envolées de vos plumes !
Point de suspension du Point de Bascule
C’est sur les terrains vagues et les terreaux en Friche que naissent les idées nouvelles.
Poussé dans le retranchement des justifications, on pourra couper le cheveu en quatre, en dix, à l’infini, le Point reste là, un point c’est tout. C’est scientifique et évident comme le point d’un i : le panorama argumentaire n’est pas nécessaire. Le point c’est le ralliement. C’est l’échange, si rare. L’art sous vitrine oxygénée n’arrive pas pour ce siècle à Marseille, la sauvage, choisie culturelle pour ses zones d’ombres paradoxales, qui meurent leurs preuves sur format A4.
Faites confiance à ceux qui jugent sur place, le Point de Bascule est précieux à la créativité de Marseille, qui bat de l’aile depuis longtemps et n’a plus aucune plume à perdre. Aidez les à ne pas ôter à Marseille la dynamique du risque qui est sa richesse ignorée. Il y a en ce lieu les passionnés, très peu gourmands, qui demandent juste à survivre, et travaillent non-stop, pour l’art. Ces structures rayonnent à l’étranger par des réseaux qui sont inconnus de l’administration comme du passant lambda (hélas), et les artistes, mobiles, véhiculent à l’étranger l’image de Marseille, encore plus efficacement que des photos de vacances. Soutient-elle ses artistes, ou pas ? On attend votre réponse.
Avant de mettre la clef sous la porte, ils se décident à sonner à la vôtre, écoutez leur fragilité.
Coline Casse, Bruxelles, 2011.
Point de suspension du Point de Bascule
C’est sur les terrains vagues et les terreaux en Friche que naissent les idées nouvelles.
Poussé dans le retranchement des justifications, on pourra couper le cheveu en quatre, en dix, à l’infini, le Point reste là, un point c’est tout. C’est scientifique et évident comme le point d’un i : le panorama argumentaire n’est pas nécessaire. Le point c’est le ralliement. C’est l’échange, si rare. L’art sous vitrine oxygénée n’arrive pas pour ce siècle à Marseille, la sauvage, choisie culturelle pour ses zones d’ombres paradoxales, qui meurent leurs preuves sur format A4.
Faites confiance à ceux qui jugent sur place, le Point de Bascule est précieux à la créativité de Marseille, qui bat de l’aile depuis longtemps et n’a plus aucune plume à perdre. Aidez les à ne pas ôter à Marseille la dynamique du risque qui est sa richesse ignorée. Il y a en ce lieu les passionnés, très peu gourmands, qui demandent juste à survivre, et travaillent non-stop, pour l’art. Ces structures rayonnent à l’étranger par des réseaux qui sont inconnus de l’administration comme du passant lambda (hélas), et les artistes, mobiles, véhiculent à l’étranger l’image de Marseille, encore plus efficacement que des photos de vacances. Soutient-elle ses artistes, ou pas ? On attend votre réponse.
Avant de mettre la clef sous la porte, ils se décident à sonner à la vôtre, écoutez leur fragilité.
Coline Casse, Bruxelles, 2011.