Accueil > Les villegiatures > Le Point de Bascule > le Point de Bascule : "quand c’est fini, ca n’est jamais vraiment fini, c’est (...) > 2010, les premières envolées de vos plumes !
Vous savez...il existe de ces lieux, réels ou rêvés, connus ou frôlés que l’on aime savoir intacts, là, disponibles. Le Point de Bascule est l’un de ces endroits.
Je n’y suis allé qu’une seule fois. Une petite fois. Modeste. Ridicule. Dérisoire. Pas par manque d’intérêt, non...
Je m’en souviens avec bonheur. Une parenthèse d’un couple d’heures où un étudiant en théâtre nous dévoila courageusement son oeuvre. Un petit bijou. Une merveille. Une fricassée de contes sur un tapis de folie.
Ce petit plaisir, je l’ai thésaurisé et rangé dans mon coffre à joies. Quand ma vie professionnelle me submerge de circulaires et de notes réglementaires, je le ressors, neuf et beau. Je me dis alors que cet havre n’est qu’à une enjambée de mon malaise - proche et rassurant - et que je POURRAIS y aller à l’envi.
C’est un petit marteau derrière une glace que je sais pouvoir briser en cas d’urgence, si la vie me suffoque.
Ne m’enlevez pas ce recours. Ne me retirez pas ce luxe que j’aime tant à désirer, ce tourment délicieux.
D’un conditionnel, d’une sublime potentialité, vous ne voudriez pas faire un impératif mesquin et bilieux ? Assurément ?
Aidez-les !!!
Aidez-moi !!!
Joseph Pujol, musicien de l’Intime-
Vous savez...il existe de ces lieux, réels ou rêvés, connus ou frôlés que l’on aime savoir intacts, là, disponibles. Le Point de Bascule est l’un de ces endroits.
Je n’y suis allé qu’une seule fois. Une petite fois. Modeste. Ridicule. Dérisoire. Pas par manque d’intérêt, non...
Je m’en souviens avec bonheur. Une parenthèse d’un couple d’heures où un étudiant en théâtre nous dévoila courageusement son oeuvre. Un petit bijou. Une merveille. Une fricassée de contes sur un tapis de folie.
Ce petit plaisir, je l’ai thésaurisé et rangé dans mon coffre à joies. Quand ma vie professionnelle me submerge de circulaires et de notes réglementaires, je le ressors, neuf et beau. Je me dis alors que cet havre n’est qu’à une enjambée de mon malaise - proche et rassurant - et que je POURRAIS y aller à l’envi.
C’est un petit marteau derrière une glace que je sais pouvoir briser en cas d’urgence, si la vie me suffoque.
Ne m’enlevez pas ce recours. Ne me retirez pas ce luxe que j’aime tant à désirer, ce tourment délicieux.
D’un conditionnel, d’une sublime potentialité, vous ne voudriez pas faire un impératif mesquin et bilieux ? Assurément ?
Aidez-les !!!
Aidez-moi !!!
Joseph Pujol, musicien de l’Intime-