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Cosmos Kolej - Création de Wladislaw Znorko
musique originale de Phil Spectrum
Inspirée du naufrage du sous-marin russe, Koursk, le 12 août 2000 Koursk
S i son nom sonne comme une exclamation de bande-dessinée, il est désormais associé à un désastre spectaculaire, car une disparition corps et biens alimente nos fantasmes à un degré bien supérieur à une catastrophe dite visible.
KOURSK commence dans les rues de la ville, en journée, par la présence insolite et persistante d’un autocar gris marqué de l’énigmatique lettre K. Il déambule, se trompe fait demi-tour, hésite, soupire. Après le curieux voyage du sous-marin, le visiteur est convié au théâtre. Trois femmes luttent becs et ongles avec un flot d’informations sonores, de la musique originale en direct et un torrent d’images projetées, parfois superposées avec celles tournées pendant la journée dans l’autocar.
Elles retrouvent enfin leur souffle dans le silence, mais c’est pour se livrer à des clowneries comme lorsqu’on a trop de chagrin. C’est un tourbillon, celui qui vide notre évier dans le sens contraire des aiguilles d’une montre. En tout cas dans notre hémisphère. Mais ailleurs ?
Inspirée du naufrage du sous-marin russe, Koursk, le 12 août 2000 Koursk
S i son nom sonne comme une exclamation de bande-dessinée, il est désormais associé à un désastre spectaculaire, car une disparition corps et biens alimente nos fantasmes à un degré bien supérieur à une catastrophe dite visible.
KOURSK commence dans les rues de la ville, en journée, par la présence insolite et persistante d’un autocar gris marqué de l’énigmatique lettre K. Il déambule, se trompe fait demi-tour, hésite, soupire. Après le curieux voyage du sous-marin, le visiteur est convié au théâtre. Trois femmes luttent becs et ongles avec un flot d’informations sonores, de la musique originale en direct et un torrent d’images projetées, parfois superposées avec celles tournées pendant la journée dans l’autocar.
Elles retrouvent enfin leur souffle dans le silence, mais c’est pour se livrer à des clowneries comme lorsqu’on a trop de chagrin. C’est un tourbillon, celui qui vide notre évier dans le sens contraire des aiguilles d’une montre. En tout cas dans notre hémisphère. Mais ailleurs ?