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En janvier 2002, je m’envole pour la Havane avec mes amis de la Cie des Grandes Personnes que j’avais accompagnés 2 ans auparavant au Burkina Faso.
La Cie est invitée a participer au festival du tabac. Il s’agit de construire des marionnettes géantes dans un atelier de construction de décors de la Havane avec le concours des Cubains qui y travaillent quotidiennement.
Devant le nombres de personnes qui confectionnent les marionnettes, je m’en vais plutôt dessiner cette ville qui m’enchante...
Après le départ de la Cie, je reste 1 mois de plus avec le projet de partir à la découverte de l’île... Mais le visa que j’avais eu à l’entrée m’interdisait de rester plus longtemps à Cuba. Toutefois, j’obtins de l’Office des migrations de prolonger mon séjour à condition de ne pas m’éloigner de la Havane.
Finalement, cette assignation à résidence me permit d’entrer plus avant dans cette ville extraordinaire. Je me retrouvais dans des quartiers insoupçonnables. J’y rencontrai des danseurs de jazz octogénaires et encore virevoltants, des peintres qui organisèrent une expo de mes dessins dans une maison communautaire.
La Havane reste pour moi comme une autre maison, familière et étrange. La vie n’y est pas simple, la " mecanica " ( débrouille ) en est la règle.
Les gens y sont souvent pauvres mais jamais misérables, un simple quidam te parles de Balzac et les enfants font école au musée une fois par semaine...
Des lois injustes justifiée par une double économie liée au tourisme te révoltent mais tu ne peux t’empécher d’admirer ces hopitaux et ces écoles ouverts à tous. Surtout en ayant trainé un peu ailleurs en Amérique latine...
Un bout de mon coeur est par là-bas et je suis heureuse de vous montrer quelques dessins de cette île belle, fière et résistante.
La Cie est invitée a participer au festival du tabac. Il s’agit de construire des marionnettes géantes dans un atelier de construction de décors de la Havane avec le concours des Cubains qui y travaillent quotidiennement.
Devant le nombres de personnes qui confectionnent les marionnettes, je m’en vais plutôt dessiner cette ville qui m’enchante...
Après le départ de la Cie, je reste 1 mois de plus avec le projet de partir à la découverte de l’île... Mais le visa que j’avais eu à l’entrée m’interdisait de rester plus longtemps à Cuba. Toutefois, j’obtins de l’Office des migrations de prolonger mon séjour à condition de ne pas m’éloigner de la Havane.
Finalement, cette assignation à résidence me permit d’entrer plus avant dans cette ville extraordinaire. Je me retrouvais dans des quartiers insoupçonnables. J’y rencontrai des danseurs de jazz octogénaires et encore virevoltants, des peintres qui organisèrent une expo de mes dessins dans une maison communautaire.
La Havane reste pour moi comme une autre maison, familière et étrange. La vie n’y est pas simple, la " mecanica " ( débrouille ) en est la règle.
Les gens y sont souvent pauvres mais jamais misérables, un simple quidam te parles de Balzac et les enfants font école au musée une fois par semaine...
Des lois injustes justifiée par une double économie liée au tourisme te révoltent mais tu ne peux t’empécher d’admirer ces hopitaux et ces écoles ouverts à tous. Surtout en ayant trainé un peu ailleurs en Amérique latine...
Un bout de mon coeur est par là-bas et je suis heureuse de vous montrer quelques dessins de cette île belle, fière et résistante.